Philippe Cordier

Le Sénégal : Une destination d’affaires très attractives

Privilégié par sa position géographique, le Sénégal est considéré comme modèle de démocratie en Afrique offrant ainsi de nombreuses opportunités aux investisseurs étrangers. L’émergence de l’économie sénégalaise est principalement portée par un secteur privé fort.

 

Deuxième économie de l’UEMOA et quatrième de la CEDEAO, le Sénégal est l’un des pôles économiques les plus importants d’Afrique de l’Ouest. Ces éléments combinés à un environnement macroéconomique stable font du Sénégal une destination d’affaires très attractive. Selon le chef de division des études régionales au Département Afrique du FMI, « Le Sénégal aujourd’hui à une croissance qui est au-dessus de la moyenne des pays d’Afrique subsaharienne, entre 4 et 5% » (27/10/2022). Le pays a attiré des investissements directs étrangers qui représentent 8,1% de son PIB (2021) en entreprenant des réformes d'envergure pour libéraliser son économie, assurer une meilleure transparence, sécuriser les investissements et assurer ainsi la poursuite de son développement. Le pays a su se doter des instruments juridiques et réglementaires nécessaires pour faciliter les activités économiques, encourager les investissements et assurer les conditions d’une saine concurrence entre les entreprises. Les investisseurs peuvent aussi s’appuyer sur des services bancaires et financiers de classe mondiale. À moyen terme, les perspectives de croissance sont favorables, se situant autour de 10% en moyenne sur la période 2023-2024 grâce aux activités de production de pétrole et de gaz, avec une inflation qui devrait progressivement retomber à 2%.


Cette année le Sénégal rejoindra le cercle des pays africains producteurs et exportateurs de pétrole et de gaz, avec le démarrage de l’exploitation des champs Grand Tortue Ahmeyim (GTA), partagé avec la Mauritanie, pour le gaz, et Sangomar pour le pétrole. Dans ce contexte un dispositif législatif, réglementaire et institutionnel relatif au Contenu Local dans le secteur des hydrocarbures a été mis en place - loi n° 2019-04 du 1er février 2019. Par là il entend assurer la promotion de l’utilisation des biens et services nationaux, le développement de la participation de la main-d’œuvre nationale, de la technologie et du capital national dans toute la chaîne de valeurs de l’industrie pétrolière et gazière. A la faveur des opportunités offertes par l’activité pétro-gazière de nombreux secteurs de l’économie contribueront au développement du tissu industriel, notamment à travers la promotion des PME/PMI locales. Celles-ci peuvent trouver leur compte dans les activités connexes comme le raffinage, la pétrochimie, ainsi que dans un spectre plus large.

Gaz et Pétrole

L’accélération de la dynamique de transformation structurelle de l’économie portée par le gouvernement dans le Plan Sénégal Émergent PAP II, peut se réaliser grâce à une forte productivité des secteurs économiques porteurs de croissance.

Matrice Oil & Gas

Les secteurs du pétrole et du gaz suscitent un grand intérêt pour les entrepreneurs locaux et les investisseurs étrangers. D’un côté, le tissu entrepreneurial sénégalais qui couvre aujourd’hui tout ou partie de ce spectre (cf. Matrice O&G ci-dessus), bénéficie d’une proximité géographique au marché ; de l’autre, des entreprises étrangères pourvues d’un niveau de maturité managériale et technique élevé, dont celles déjà positionnées dans l’écosystème international pétrole et gaz, sont aptes à répondre aux normes et références internationales exigées.

 

Ainsi, la concrétisation de partenariats entre des entreprises locales et étrangères permettra d’apporter des réponses aux contraintes de développement à travers le développement des PME/PMI, en passant par l’attraction des investissements directs pour capitaliser les opportunités.

 

Malgré quelques troubles politiques récents, le Sénégal continue de maintenir sa trajectoire de croissance économique positive. Ces perturbations, bien que notables, sont à relativiser et ne doivent pas occulter les opportunités prometteuses qui s'ouvrent dans les secteurs du pétrole et du gaz. Le pays a progressivement établi un environnement favorable aux investissements étrangers, avec des réformes et des incitations visant à stimuler le développement industriel. Une illustration de cette dynamique est le succès du forum « Invest in Senegal » qui s’est tenu début juillet à Dakar, où des entreprises françaises ont pu découvrir les avantages compétitifs de participer à l'essor économique du pays. Cet événement a non seulement mis en lumière les potentialités du Sénégal dans le domaine de l'énergie, mais a également renforcé la confiance dans la stabilité à long terme de son climat des affaires.


Article rédigé pour STRATEXIO dans la newsletter de septembre 2023 "LA PAROLE AUX EXPERTS STRATEXIO"

par Philippe Cordier 8 juillet 2025
Ce que signifie réellement cette décision L’annonce récente de l’Union Européenne concernant le classement de la Côte d’Ivoire parmi les juridictions à haut risque en matière de Lutte Contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme (LBC/FT) a suscité de nombreuses interrogations, voire de l’inquiétude, au sein des milieux économiques, diplomatiques et bancaires. Cette décision, d’apparence technique, n’est pourtant pas anodine. Elle appelle à une compréhension fine de ses origines, de sa portée réelle, et surtout de ses implications pratiques pour les entreprises opérant dans ou avec la Côte d’Ivoire. En Afrique de l’Ouest, la Côte d’Ivoire occupe une position stratégique : locomotive économique de l’UEMOA, hub financier et logistique régional, destination privilégiée pour les investisseurs internationaux. Dès lors, toute décision réglementaire internationale qui la concerne a des répercussions directes sur l’environnement des affaires. Mais il est essentiel de rappeler que cette classification n’est ni une sanction économique, ni une remise en cause de la stabilité macro-financière du pays. Elle s’inscrit dans un processus de surveillance normalisé, piloté par le Groupe d’Action Financière (GAFI), visant à identifier les juridictions présentant encore des fragilités structurelles dans leurs dispositifs de prévention des flux financiers illicites. Cependant, malgré ces avancées, certains critères structurels clés restent à consolider pour répondre pleinement aux attentes du GAFI et de l’Union européenne. Parmi les points soulevés figurent : une application encore inégale des textes existants sur le terrain un manque de coordination opérationnelle entre les institutions publiques des délais persistants dans le traitement des dossiers de conformité et des difficultés à démontrer de manière systématique l’efficacité des mécanismes de sanction C’est donc cette combinaison de progrès partiels et de lacunes résiduelles qui a motivé la décision de classer la Côte d’Ivoire parmi les juridictions à haut risque. Il s’agit d’un signal d’alerte technique plutôt qu’un jugement définitif : un appel à accélérer et approfondir les réformes déjà engagées. Une réalité bancaire déjà fortement encadrée Contrairement à certaines analyses alarmistes relayées dans les médias ou par certains acteurs économiques, le classement de la Côte d’Ivoire sur la liste des pays à haut risque ne constitue pas une rupture brutale ni une dégradation soudaine des conditions bancaires. En réalité, la majorité des entreprises opérant en Côte d’Ivoire évolue déjà dans un environnement financier extrêmement exigeant. Depuis plusieurs années, les établissements bancaires ivoiriens notamment ceux en lien avec des correspondants européens appliquent des règles de conformité particulièrement strictes. Cette rigueur découle à la fois des normes internationales, des exigences des maisons-mères bancaires, mais aussi d’une volonté locale d’anticiper tout risque réputationnel ou réglementaire. Les témoignages de nos clients illustrent parfaitement cette situation : des délais prolongés pour les virements internationaux, parfois sans explication claire ni visibilité sur les échéance une multiplication des justificatifs exigés, y compris pour des opérations récurrentes des demandes de conformité très détaillées sur l’origine des fonds, les contrats commerciaux, ou encore les bénéficiaires effectifs des transactions des blocages ou suspensions fréquents en cas de dossier incomplet ou de doute sur une pièce justificative Dans les faits, ce classement vient donc entériner une situation déjà vécue au quotidien par les entreprises. Il formalise ce que beaucoup subissent déjà : une extrême prudence des banques ivoiriennes, qui n’hésitent pas à appliquer des standards parfois plus élevés que ceux en vigueur dans des juridictions non classées à risque. En somme, le défi ne réside pas dans l’introduction de nouvelles contraintes, mais dans la capacité à s’adapter plus rapidement à un environnement qui exige rigueur, transparence et professionnalisation des pratiques. Le Sénégal : un exemple de sortie de la liste Parallèlement, le Sénégal a été retiré de la liste des pays à haut risque, preuve qu’il est possible de sortir de cette classification. Ce retrait repose sur plusieurs facteurs clés, issus d’un processus long, exigeant et audité : l’adoption de lois robustes, intégrant l’ensemble des recommandations du Groupe d'Action Financière (GAFI), avec une mise en œuvre effective et mesurable le renforcement des institutions de contrôle, telles que les Cellules de Renseignement Financier (CRF), les régulateurs bancaires ou les autorités judiciaires, dotées de moyens accrus l’existence de procédures claires, suivies et sanctionnées, avec des preuves d’application sur le terrain une coopération internationale active, fondée sur la transmission régulière d’informations, la participation aux évaluations mutuelles et une transparence opérationnelle Ce sont ces éléments factuels et vérifiables qui ont conduit à la décision de retrait. De son côté, la Côte d’Ivoire est également engagée dans cette dynamique, avec une série de réformes déjà amorcées : des textes juridiques ont été adoptés pour aligner le cadre national avec les normes internationales des efforts de structuration institutionnelle sont en cours, notamment au sein de la justice et de l’administration financière une volonté politique de renforcer la transparence est affirmée Cependant, le pays n’a pas encore fourni toutes les preuves concrètes exigées par le GAFI : les dispositifs doivent être pleinement opérationnels, testés et documentés les actions doivent produire des résultats mesurables (enquêtes, sanctions,coopération transfrontalière) une traçabilité administrative et judiciaire plus systématique est attendue Pour les entreprises : quels impacts concrets ? Il est important de dissiper tout malentendu : Être classé à « haut risque » par l’Union européenne ne signifie ni embargo, ni isolement financier, ni interdiction de commercer avec l’étranger. Cette décision n’empêche pas les flux économiques de circuler, ni les entreprises ivoiriennes de contracter avec des partenaires européens, de lever des fonds, ou d’exporter des biens et services. Ce classement n’est pas un couperet, mais plutôt un signal réglementaire qui entraîne une surveillance renforcée. Il appelle à une meilleure traçabilité des flux, à une plus grande transparence dans la documentation des opérations, et à une vigilance accrue de la part des banques et des partenaires financiers. En d'autres termes : les entreprises peuvent toujours signer des partenariats, recevoir des financements, ou travailler avec des institutions européennes, à condition de fournir des dossiers solides, conformes et bien structurés les flux financiers ne sont pas bloqués par principe, mais passent par des filtres de conformité plus stricts, avec des vérifications supplémentaires certains investisseurs ou co-financeurs, notamment ceux soumis à des normes européennes, peuvent adopter une posture plus prudente, demander davantage de garanties, ou allonger les délais de validation des projets Il s’agit donc moins d’une fermeture des marchés que d’un rehaussement des standards d’exécution. Pour les entreprises bien préparées et bien accompagnées, cette nouvelle donne peut même devenir un avantage concurrentiel. En effet, celles qui parviennent à se conformer aux nouvelles exigences renforcent leur crédibilité, inspirent davantage confiance aux bailleurs de fonds, et se positionnent comme des acteurs fiables dans un contexte international de plus en plus normé. La réponse Ceemo SAS : transformer la contrainte en levier stratégique Dans ce contexte de complexification des normes et d’exigences accrues en matière de conformité, Ceemo SAS se positionne comme bien plus qu’un simple prestataire de services. Nous sommes un partenaire stratégique, engagé aux côtés des entreprises qui opèrent ou souhaitent s’implanter en Côte d’Ivoire et plus largement en Afrique de l’Ouest. Face aux nouvelles réalités imposées par le classement à « haut risque », les entreprises doivent faire preuve d’une grande rigueur, d’anticipation et d’agilité réglementaire. Or, ces exigences ne s’improvisent pas : elles requièrent une parfaite compréhension des dispositifs de conformité, des dynamiques bancaires, et des exigences documentaires internationales. C’est précisément là que l’expertise multisectorielle de Ceemo SAS prend tout son sens. Nos équipes vous accompagnent pour : analyser l’impact de la décision européenne sur vos opérations courantes et vos projets de développement à l’international renforcer vos pratiques internes de conformité : gestion des bénéficiaires effectifs, structuration des contrats, traçabilité des flux, documentation juridique et financière préparer des dossiers bancaires solides, avec l’ensemble des justificatifs attendus en matière de provenance des fonds, d’identification des partenaires, et de preuves de conformité anticiper les points de blocage dans vos opérations transfrontalières, grâce à une veille réglementaire constante sur les décisions du GAFI, de l’Union européenne et des institutions africaines valoriser votre transparence auprès de vos partenaires financiers et investisseurs, en transformant la contrainte réglementaire en avantage concurrentiel En choisissant Ceemo SAS , vous bénéficiez d’un accompagnement fondé sur plus de 15 ans d’expérience, une connaissance fine des marchés ouest-africains, et une maîtrise des exigences internationales. Nous sommes à vos côtés pour que ce classement de la Côte d’Ivoire ne soit pas un frein à vos ambitions, mais un catalyseur de structuration, de performance et de compétitivité. En conclusion : ne pas céder à l’alarmisme La classification de la Côte d’Ivoire comme pays à haut risque par l’Union européenne ne doit pas être interprétée comme une mise à l’écart ou un désaveu économique. Au contraire, elle ne remet aucunement en cause la vitalité du tissu entrepreneurial ivoirien, ni la place stratégique qu’occupe le pays dans les dynamiques de croissance en Afrique de l’Ouest. La Côte d’Ivoire demeure une économie résiliente, dynamique et attractive, soutenue par des investissements massifs dans les infrastructures, une classe moyenne en expansion, et une volonté affirmée de transformation industrielle. Les perspectives de développement restent solides, comme en témoignent les multiples projets d’envergure en cours, les partenariats public-privé croissants et l’intérêt constant des investisseurs internationaux. Ce classement doit donc être perçu pour ce qu’il est réellement : un levier d’amélioration structurelle une incitation à adopter les meilleurs standards de gouvernance, de transparence et de conformité une opportunité pour les entreprises sérieuses de se différencier durablement Dans un monde économique de plus en plus régulé, les entreprises capables de se conformer aux exigences internationales prennent une longueur d’avance. Elles gagnent en crédibilité, rassurent leurs partenaires et accèdent plus facilement aux financements et aux marchés les plus exigeants. Chez Ceemo SAS, nous croyons fermement que cette évolution réglementaire peut devenir un accélérateur de montée en gamme pour les entreprises ivoiriennes. En les accompagnant dans leur structuration, leur mise en conformité et leur développement international, nous contribuons à transformer un environnement complexe en avantage stratégique durable. Professionnalisation, structuration, anticipation : ce sont les clés pour réussir dans ce nouveau contexte. Et Ceemo SAS est là pour ouvrir la voie.
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Cet événement régional rassemble chaque année plus de 1 000 professionnels autour des enjeux du développement international des entreprises bretonnes. Une présence stratégique en tant que prestataire agréé En tant que prestataire agréé BCI à l’étranger, Ceemo SAS accompagne depuis de nombreuses années les entreprises bretonnes souhaitant s’implanter ou se développer en Afrique de l’Ouest. Notre participation à cet événement est l’occasion de : Rencontrer des entreprises bretonnes ambitieuses Partager notre expertise sur les marchés ouest-africains Renforcer nos partenariats pour dynamiser l’internationalisation Un programme riche et diversifié L’Open de l’International 2025 propose : Des réunions d’information sur les opportunités à l’export Des retours d’expérience d’entreprises déjà engagées à l’international Des rendez-vous B2B avec des prestataires de plus de 40 pays Un village des partenaires nationaux et régionaux Une conférence plénière sur l’internationalisation durable Ceemo SAS : votre partenaire pour l’Afrique de l’Ouest Avec une connaissance approfondie des marchés ouest-africains, Ceemo SAS offre un accompagnement personnalisé aux entreprises bretonnes, de l’étude de marché à la mise en œuvre opérationnelle. Notre objectif est de faciliter et sécuriser votre développement international. Rendez-vous le 23 juin 2025 au Quartz de Brest Nous serons ravis de vous accueillir sur notre stand pour discuter de vos projets et explorer ensemble les opportunités en Afrique de l’Ouest. N’hésitez pas à nous contacter pour planifier un rendez-vous lors de l’événement. 👉 Contactez Fatou +221 77 626 13 15 / assistante@ceemo.net
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